Voici une saga que j'ai énormément aimé. Elle se passe dans le Nord et couvre la période de 1866 jusqu'à environs 1960. On y suit une famille et les personnages sont attachants. Je les ai tout les trois lu très vite (en moins d'une semaine) car ils m'ont beaucoup plu.
(résumé issu du site Amazon.fr)
auteur: Marie-Paul Armand
Tome 1: La courée
Constance sort à peine de l'enfance lorsque son existence bascule brutalement dans l'horreur. Hier encore, elle jouait dans la "courée" de son immeuble. À quatorze ans, elle se retrouve orpheline et doit entrer en usine. Dès lors, chaque matin, elle sera réveillée à cinq heures par les cloches de la fabrique. Chaque soir, elle ressortira abrutie par le vacarme des métiers. Pour échapper à ce cauchemar, elle épouse Bart, un ouvrier belge. Trouvera-t-elle enfin auprès de lui le bonheur qui lui a toujours été refusé ?
La suite de l'histoire, c'est Charlotte, sa fille aînée, qui nous la raconte. Ainsi se poursuit le voyage dans ce Nord de la fin du XIXe siècle qu'éclairent l'amitié, le courage et l'espoir.
Tome 2: Louise
En 1900, Louise, fille adoptive de Charlotte, est une enfant insouciante et joyeuse. Confiante, elle regarde le siècle nouveau s'avancer à grand pas. On le voudrait "riche de promesse et d'espoir", mais les conditions de travail des ouvriers sont toujours difficiles...
En 1912, Louise s'éprend de Mathieu, un bel instituteur qui l'emmène vivre près de Tourcoing. Benoît nait en 1914, un peu avant l'été. toute à son amour, Louise n'a guère prêté attention aux événements qui ébranlent le monde... La guerre éclate. Le Nord est occupé. La désolation, la famine, la peur s'installent. Un courrier cruel annonce la mort de Mathieu. Effondrée, Louise perd courage. Mais, pour Benoît, elle fait semblant de vivre. Pourra-t-elle un jour retrouver le bonheur ?7
Tome 3: Benoît
Benoît, l'arrière-petit-fils de Constance, réalise son rêve d'enfant : conduire le monstre d'acier, la légendaire locomotive Pacific 231.
La trilogie de La Courée, qui nous mène jusqu'au début des années 60, se termine sur le retour au monde du "rail"